On a le béguin pour Valentine ! Avec sa personnalité authentique, directe et ensoleillée, elle incarne exactement ce que nous voulons capturer dans notre nouveau parfum 106 à la rose.
Que faites-vous en dehors du mannequinat ?
« En plus de la modélisation, je travaille dans la recherche et l’art. Mon travail est principalement axé sur la musique et les tapis persans. J’ai un diplôme d’art et j’ai aussi étudié l’ethnologie. Je suis passionné par beaucoup de choses, mais mes deux plus grandes passions sont la musique et la littérature. Les tapis viennent juste derrière et, ensemble, ils sont les fondements de mon travail de recherche et de création. »
Qu’est-ce qui vous inspire ?
« Je suis très inspiré par l’Iran. C’est mon inspiration numéro un dans mon travail, mais aussi par ce lien que j’ai avec l’Iran d’être né en France et d’avoir une vision extérieure sur elle. Je travaille beaucoup sur le sujet des origines, des racines. »
Quel lien trouvez-vous entre l’art du parfum et du mannequinat ?
« Le parfum et le modelage sont liés, pour moi, à cette idée de seconde peau. Il y a un désir de fusionner un corps, une personne, avec le textile, l’odeur. De créer un nouveau lien. »
Avez-vous un parfum préféré de Bon Parfumeur ? Comment vous sentez-vous quand vous le portez ?
« Je connais très peu les parfums Bon Parfumeur en ce moment. Je suis tout nouveau à l’aventure mais je dois avouer que j’ai adoré le 301, il a une odeur d’épices qui me caractérise vraiment et me fait me sentir bien. C’est un mélange de senteurs rappelant le café turc avec sa touche de cardamome. C’est un parfum qui reste sur la peau pendant très longtemps mais ne prend pas tout l’espace, il permet aussi à l’odeur de la personne de se manifester. Et je pense que c’est quelque chose d’important dans un parfum : qu’il ne masque pas complètement l’odeur de la personne, mais qu’il l’accompagne et le nourrit. »
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